Tout bébé, l'enfant ressent les anxiétés de sa maman, la faim, la soif, la chaleur, le froid, du bruit, peuvent troubler son sommeil. Plus tard, vers 2 ans et 3 ans, c'est l'environnement qui offre un peu trop de stimulation : trop de télévision, horaire du coucher non respecté ...

Les terreurs nocturnes sont fréquentes entre 3 et 6 ans : l'enfant s'assoit brusquement sur son lit, en criant, et s'agitant, ne reconnait personne puis il se rendort.

Les cauchemars sont de "mauvais rêves" qui arrivent pendant le sommeil paradoxal : l'enfant a peur.

L'énurésie : on parle d'énurésie qu'à partir de 5 ans, car avant 5 ans la maturation des voies urinaires et du cerveau n'est pas complètement finie. Il y a l'énurésie primaire (l'enfant n'a jamais acquis la propreté nocturne voir diurne) elle est due à une immaturité vésicale.L'énurésie secondaire concerne les enfants qui ont acquis cette propreté mais qui se remettent à faire pipi suite à un évènement (naissance, entrée à l'école, divorce...).

Les insomnies précoces sont dues à des erreurs de soin, une peur de s'endormir, les dents ou maux de ventre, troubles de la relation avec la maman.

L'opposition au coucher est fréquent vers 2 et 3 ans. Il peut se résoudre en respectant l'heure du coucher et en instaurant un rituel.

Les rituels du coucher (vers 2 ans- 2 ans et demi) s'effacent vers 4 et 6 ans. L'enfant les installe pour maitriser l'angoisse de la rupture de la relation : respecter ces rituels est important mais ne pas les renforcer.

Les rythmes d'endormissement sont des mouvements pour pouvoir s'endormir, la succion du pouce aussi.

Les peurs du coucher sont la peur du noir, peur des ombres, peur des monstres ou fantômes... rassurer l'enfant.

 

 



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